Les plantes légumineuses sont capables, en détectant des oligosaccharides de chitine émis par des microorganismes présents dans le sol, de déclencher des réponses défensives (immunitaires) ou au contraire des réponses bénéfiques (symbiotiques) leur permettant une meilleure adsorption des nutriments (eau, azote, phosphore, potassium). Dans cette étude, les auteurs ont montré chez la légumineuse modèle Medicago truncatula que le récepteur LYK8 en se complexant avec d’autres protéines permet à la plante de distinguer les deux voies de signalisation pour favoriser l’activation de la réponse symbiotique.
Cette nouvelle publication de Sébastien Fort (Directeur de Recherches CNRS ) est issue d’une collaboration avec Oklahoma State University, University of Cambridge , et le LIPME – Laboratoire des Interactions Plantes Microbes Environnement.
Elle est disponible en accès libre, dans HAL : https://hal.science/hal-04601841