Cette étude, une collaboration avec l’Université de Sfax et Grenoble INP, visait à créer des supports moléculaires durables en produisant des nanofibres électrofilées à partir de mucilage de cactus et d’alcool polyvinylique chargé d’huile essentielle de graines d’aneth (Anethum graveolens L.) (DSEO). Les nanofibres électrofilées ont permis une libération contrôlée à long terme de DESO. Les nanofibres contenant du DSEO ont démontré des activités bactériostatiques et bactéricides contre les bactéries pathogènes d’origine alimentaire (Staphylococcus aureus et Pseudomonas aeruginosa). Ces nanofibres dérivées de glucides sont des matériaux prometteurs en tant que revêtements intérieurs actifs utilisés pour les applications biomédicales et d’emballage alimentaire.
L’article est disponible sur le site de l’éditeur : https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsami.3c13289
